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Oct 4

Comprendre un jeu de rôle : un guide clair pour saisir l’équilibre entre règles et univers.

Sep 22

Sonya la Rousse : la vraie Red Sonja Avant les comics, avant les couvertures pulp, il y a eu Sonya la Rousse. Robert E. Howard l’invente en 1934 dans The Shadow of the Vulture (L’Ombre du Vautour), une nouvelle historique publiée dans The Magic Carpet Magazine. Nous sommes en 1529, lors du siège d...Read more

Sonya la Rousse : la vraie Red Sonja Avant les comics, avant les couvertures pulp, il y a eu Sonya la Rousse. Robert E. Howard l’invente en 1934 dans The Shadow of the Vulture (L’Ombre du Vautour), une nouvelle historique publiée dans The Magic Carpet Magazine. Nous sommes en 1529, lors du siège de Vienne par Soliman le Magnifique. Les remparts tremblent sous les assauts ottomans, et parmi les défenseurs surgit une figure flamboyante : Sonya, cheveux roux, rire éclatant, canonnière et guerrière intrépide. Pas une pin-up, pas une héroïne de fantasy, mais une combattante de chair et de sang, plus proche des récits de cape et d’épée que du sword & sorcery. Howard ne la fera apparaître qu’une seule fois, mais cette apparition suffit à graver son énergie dans l’imaginaire. Elle incarne une forme rare chez Howard : une héroïne historique autonome, à une époque où ses autres récits de bataille (Le Seigneur de Samarcande, Les Cavaliers de la mort) mettaient plutôt en avant des figures masculines brutales et ambivalentes. La “vraie” Red Sonja, c’est donc elle : Sonya la Rousse, éclat de fureur et de courage dans le tumulte du XVIᵉ siècle. Ce n’est qu’ensuite que Marvel, dans les années 1970, la déforme pour l’envoyer dans l’Hyborie aux côtés de Conan. Mais la première trace, la plus pure, reste celle d’une guerrière de la Renaissance, née dans l’Histoire avant de devenir mythe pop.

Sep 21

Gwendoline (1984) – l’idée à la con qu’on adore Just Jaeckin, papa d’Emmanuelle, adapte Sweet Gwendoline : bondage underground + pulp + amazones en armures. Résultat ? Un nanar kitsch, trop soft pour les fétichistes, trop bizarre pour le grand public. Et pourtant… parfait pour le JdR. Jungle, cité...Read more

Gwendoline (1984) – l’idée à la con qu’on adore Just Jaeckin, papa d’Emmanuelle, adapte Sweet Gwendoline : bondage underground + pulp + amazones en armures. Résultat ? Un nanar kitsch, trop soft pour les fétichistes, trop bizarre pour le grand public. Et pourtant… parfait pour le JdR. Jungle, cité perdue, héroïne ingénue, cages et cordes en mode clin d’œil pulp. Pas besoin de sortir le fouet IRL : juste du fun décalé à la table. Une idée absurde ? Oui. Mais assumée, c’est du carburant pulp en or.

Sep 20

La Terre de la bombe (Durand & Ramaïoli) est une saga BD post-apocalyptique française (1979-86) située dans le Roussillon irradié. Coderc et Baixas y survivent avec lames et montures improbables. Violente, décadente et fanzine dans l’âme, elle reste une curiosité unique et une excellente source d’in...Read more

La Terre de la bombe (Durand & Ramaïoli) est une saga BD post-apocalyptique française (1979-86) située dans le Roussillon irradié. Coderc et Baixas y survivent avec lames et montures improbables. Violente, décadente et fanzine dans l’âme, elle reste une curiosité unique et une excellente source d’inspiration rôliste.

Sep 19

Un roman d’horreur en pleine Occupation 1943 La France est occupée par l’armée allemande. C’est l’hiver, la Champagne grelotte sous la neige. Sauf à Montalembert, une combe étrange où la blancheur a fondu autour d’un vieux château. Depuis des siècles, ces bois ont été des champs de bataille. Des c...Read more

Un roman d’horreur en pleine Occupation 1943 La France est occupée par l’armée allemande. C’est l’hiver, la Champagne grelotte sous la neige. Sauf à Montalembert, une combe étrange où la blancheur a fondu autour d’un vieux château. Depuis des siècles, ces bois ont été des champs de bataille. Des centaines de cadavres y dorment, empilés couche après couche, attendant peut-être qu’une main sacrilège vienne les réveiller.